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Les doutes dans la prière




A - Les cas généraux

1 - Si le prieur doute ; est-ce qu’il a déjà accompli la prière ou pas encore, deux cas se présentent :

a - Si le temps prescrite de la prière est restant, il doit considérer qu’il n’pas accomplie la prière encore, il doit alors l’accomplir.

b - Si le temps de la prière a déjà achevé, il ne tient pas compte du doute, il considère alors qu’il l’a déjà accompli.

2 - Si le prieur doute, après avoir fini la prière, d’une partie ou d’une condition requise de la prière ; est-il la fait on non? Ou ; est-il la fait correctement ou non ? Alors, il ne tient pas compte du doute.

Et s’il doute, lors de la prière, d’un acte précédant est-il était fait ou non ? Ou est-il était fait correctement ou non ? Il ne tient pas compte du doute.

3 - Si le prieur doute ; est ce que le temps prescrite de la prière est restant ou il a déjà achevé, il considère qu’il est restant. En revanche, s’il doute est ce que le temps prescrite a déjà débuté ou pas encore, il considère qu’il n’a pas encore débuté jusqu’à qu’il soit sûr qu’il a commencé.

Cependant, le prieur peut compter sur le calendrier qui est bien étudié de la part des personnes compétant, dignes de confiance. Et aussi sur la personne qui fait l’appel à la prière (ou qui met le C D ou autre, à la mosquée, à la radio, à la télévision etc.) à condition qu’il soit digne de confiance.

4 - Si le prieur doute souvent d’un acte précis de la prière, ne doit pas tenir compte de son doute, sauf si le doute est sur un autre acte. Par exemple : si le prieur doute souvent lors d’accomplir les prosternations a-t-il accompli déjà une ou deux, il considère toujours qu’il a accompli deux. En revanche, la personne qui doute d’une façon équilibrée normale compte sur le doute et se considère, dans cet exemple, qu’il a accompli une seule prosternation, donc il accompli la deuxième.

B - Les doutes sur les nombres d’unités (Rik’a)

Définition du doute : Il est indispensable, d’abord, de fixer la différence entre «le doute avec probabilité» - lorsque la probabilité d’avoir fait le nombre supérieur d’unité (Rik’a) n’est pas égale à la probabilité d’avoir fait le nombre inférieur d’unité - et «le doute sans probabilité» - lorsque les probabilités sont égales (50/50).

Exemple : Si le prieur doute entre les 1ère et 2ème unités, mais il a une probabilité plus forte qu’il est maintenant dans la deuxième unité (et pas dans la première), alors il considère qu’il est effectivement dans la deuxième et il ne tient pas compte du doute. Car la forte probabilité est considérée, dans ces cas, comme la certitude. En revanche, s’il est distrait, ne sait plus dans quelle unité est-t-il ? Alors c’est un «doute sans probabilité» et le prieur doit, dans ce cas, appliquer les jugements d'après.

Donc, lorsque le prieur «doute sans probabilité» sur les nombres d’unités qu’elles sont déjà accomplies, sa prière est invalide dans quatre cas et valide dans neuf cas :

a - Les quatre cas dont la prière est invalide :

1 - Si le prieur ne sait plus combien a accompli d’unité (Rik’a) ; un, deux, trois ou quatre, sa prière est invalide.

2 - Si le prieur doute de nombres d’unités, lors des prières du Matin ou du Maghreb (corpuscule), qu’il a accompli déjà une ou deux, deux ou trois, sa prière est invalide.

3 - Si le prieur doute de nombres d’unités, lors des prières de quatre unités (Rik’a) «Dhur et ‘Asr et ‘Icha » entre la 1ère et 2ème unité, sa prière est invalide.

4 - Si le prieur doute, lors des prières de quatre unités (Rik’a) «Dhur et ‘Asr et ‘Icha », est-t-il dans la 2ème ou la 3ème unité (Rik’a), lorsqu’il est debout, lors de l’inclination, lors de la première prosternation ou lors de la deuxième prosternation avant d’avoir fini les paroles prescrites, sa prière, dans ces cas, est invalide.

Et s’il doute entre (la 2ème et la 4ème) ou entre (la 2ème et la 3ème et la 4ème) avant d’avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière, dans ces cas, est invalide.

En revanche, s’il doute après avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière, dans ces cas, est valide, Comme on va les cités dans les cas d'ensuite.

b - Les neuf cas dont la prière est valide :

Tous ces cas se passent lors des prières de quatre unités : «Dhur et ‘Asr et ‘Icha », puisqu’on a déjà vu (cas 2) que le doute sur les nombres d’unités (Rik’a) lors des prières du Matin ou du Maghreb (corpuscule) invalide la prière. Donc ;

1 - Si le prieur doute entre la 2ème et la 3ème unité (Rik’a), après avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière est valide. Il se considère alors qu’il a déjà accompli trois unités (Rik’a), il accompli la quatrième et après avoir fini la prière il accomplit, tout de suite, une unité (Rik’a) débout dit «la prière de précaution». Cependant, l’handicapé et la personne incapable accomplissent cette prière, une seule unité assis.

Exemple : Si le prieur est assis après qu’il accompli la deuxième prosternation et doute est-t-il dans la 2ème unité (Rik’a) alors il fait l’Attestation (Tachahoud) ou dans la 3ème ? Alors, il se considère dans la 3ème, il se lève pour accomplir la 4ème. Et après avoir fini la prière, il accomplir «la prière de précaution» débout. S’il est handicapé ou incapable, il l’accompli assis.

2 - Si le prieur doute entre la 3ème et 4ème unité (Rik’a), lorsqu’il est debout, lors de l’inclination, lors des prosternations ou lors qu’il est assis, sa prière est valide. Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli tout de suite une unité (Rik’a) de précaution débout ou deux unités assis. Il est recommandé, dans ce cas, de choisir les deux unités en station assise. l’ handicapé et l’incapable accomplissent une seule unité assis.

3 - Si le prieur doute entre la 2ème et la 4ème unité (Rik’a), après avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière est valide. Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli, tout de suite, deux unité (Rik’a) de précaution, débout. l’ handicapé et l’incapable accomplissent deux unités assis.

4 - Si le prieur doute entre la 2ème, la 3ème et la 4ème unité (Rik’a), après avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière est valide. Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli, tout de suite, deux unité (Rik’a) de précaution débout et deux unités assis. l’ handicapé et l’incapable accomplissent deux unités puis une unité assis.

5 - Si le prieur doute entre la 4ème et la 5ème unité (Rik’a), après avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation, sa prière est valide. Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli « Les deux prosternations pour oubli ».

6 - Si le prieur doute entre la 4ème et la 5ème unité (Rik’a), lorsqu’il est débout, il doit revenir assis et finir sa prière valide. Il accompli, tout de suite, après la prière, une unité (Rik’a) de précaution débout ou deux unités assis, comme dans le deuxième cas car le doute, dans ce cas, se transforme en doute entre 3ème et 4ème unité (Rik’a). Il est recommandé d’accomplir «Les deux prosternations pour oubli» après avoir fini «la prière de précaution» puisqu’il se mettait débout à la place d’être assis. l’ handicapé et l’incapable accomplissent une seule unité assis.

En revanche, s’il doute lors de l’inclination (Rukou’), lors de la première prosternation ou lors de la deuxième prosternation avant d’avoir fini les paroles prescrites, sa prière, dans ces cas, est invalide.

7 - Si le prieur doute entre la 3ème et la 5ème unité (Rik’a), lorsqu’il est débout, il doit revenir assis et faire selon le cas de doute entre la 2ème et la 4ème unité (Rik’a). Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli, tout de suite, deux unité (Rik’a) de précaution débout et sa prière est valide. Il est recommandé d’accompli «Les deux prosternations pour oubli» après avoir fini «la prière de précaution». l’ handicapé et l’incapable accomplissent deux unités assis.

8 - Si le prieur doute entre la 3ème, la 4ème et la 5ème unité (Rik’a), lorsqu’il est débout, il doit revenir assis et faire selon le cas de doute entre la 2ème, la 3ème et la 4ème unité (Rik’a). Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli, tout de suite, deux unité (Rik’a) de précaution débout et deux unités assis et sa prière est valide. Il est recommandé d’accompli «Les deux prosternations pour oubli» après avoir fini «la prière de précaution». l’handicapé et l’incapable accomplissent deux unités puis une unité assis.

9 - Si le prieur doute entre la 5ème et la 6ème unité (Rik’a), lorsqu’il est débout, il doit revenir assis et faire selon le cas de doute entre la 4ème et la 5ème unité (Rik’a). Il se considère alors dans la 4ème, il fini la prière et il accompli « Les deux prosternations pour oubli ». Il est recommandé d’accompli une deuxième fois «Les deux prosternations pour oubli» après avoir fini «la prière de précaution». l’ handicapé et l’incapable n’accomplissent pas «Les deux prosternations pour oubli» une deuxième fois.

Observation : Si le prieur doute est-t-il a accompli une ou deux prosternation et il doute aussi ; est-t-il dans les 2ème ou 3ème unités (Rik’a), sa prière est invalide. Pourquoi ? Car c’est un doute entre la 2ème et la 3ème unité, avant d’avoir fini les paroles prescrites de la deuxième prosternation.

c - Les doutes sans effets :

Il y a trois cas de doute entre les unités n’exigent aucune correction :

1 - Si le prieur est assis, entrain d’accomplir l’attestation (Tachahoud) ou bien après l'avoir fini, doute ; est-il dans la 2ème unité et entrain d’accomplir conformément l’Attestation ou bien dans la 1ère unité et entrain de l’accomplir par omission ? Alors, il se considère dans la 2ème unité sans tenir compte du doute. En conséquence, s’il est entrain d’accomplir la prière du Matin, il fini sa prière par la Salutation (Taslim), s’il est dans la prière du corpuscule (Maghreb), il se lève, après avoir fini l’Attestation, il accompli la 3ème unité et fini sa prière normalement et s’il est dans une prière de quatre unités « Dhur, ‘Asr et ‘Icha », il accompli la 3ème et la 4ème unité et il fini sa prière normalement.

2 - Si le prieur est dans une prière de quatre unités « Dhur et ‘Asr et ‘Icha », entrain d’accomplir l’Attestation (Tachahoud) ou bien après l'avoir fini, doute ; est-il dans la 4ème unité et entrain d’accomplir conformément l’Attestation ou bien dans la 3ème unité et entrain de l’accomplir par omission ? Alors, il se considère dans la 4ème unité sans tenir compte du doute.

3 - Si le prieur est dans une prière de trois unités «Maghreb», entrain d’accomplir la Salutation (Taslim), doute ; est-il dans la 3ème unité et entrain d’accomplir conformément la Salutation ou bien dans la 2ème unité et entrain de l’accomplir par omission ? Alors, il se considère dans la 3ème unité sans tenir compte du doute.

C - La prière de précaution

Le prieur doit accomplir « la prière de précaution » immédiatement après avoir fini la prière, avant de faire ce qui l’annule, comme, par exemple, tourner le corps de la direction de Qibla, parler délibérément, perdre l’ablution etc. Sinon, si le prieur fait ce qui annule la prière avant d’avoir accompli «la prière de précaution», elle doit refaire la prière car sa prière, dans ce cas, est invalide.

La manière d’accomplir « la prière de précaution » :

- Formuler l’intention et accomplir une unité (Rik’a) ou deux unités débout ou assis selon les cas.

- Réciter seulement la sourate «la Fatiha». Alors, le prieur doit ne pas réciter la deuxième sourate et il doit réciter «la Fatiha» à voix basse, par précaution obligatoire. Puis il fini la prière normalement.

- Cette prière exige tous les actes et toutes les conditions obligatoires et recommandées de la prière. En revanche, elle n’exige ni l’appel à la prière (Adhan) ni l’Iqama ni le Qunout.

En conséquence, le prieur se teint debout ou assis selon le cas, après avoir fini la Salutation (Taslim) de la prière douteuse, il formule l’intention de la prière de précaution afin de se rapprocher d’Allah - le Plus Haut - et il accomplie une unité (Rik’a) ou deux unités, selon les cas, en récitant seulement «la Fatiha» à voix basse, sans faire le Qunout.

D - Articles concernant « la prière de précaution »

- Si le prieur découvre avant d’avoir entamé « la prière de précaution » que sa prière était complète, il ne fait plus alors, «la prière de précaution». Et s’il découvre qu’elle est complète lors de «la prière de précaution», il peut l’interrompre ou bien la finir, deux unités, avec l’intention pour une prière surérogatoire.

- Si le prieur s’aperçoit avant d’entamer «la prière de précaution» qu’il a accompli seulement trois unités, il doit alors se tenir debout pour finir sa prière normalement, quatre unités (Rik’a). Et s’il s’aperçoit avant d’entamer « la prière de précaution » qu’il a accompli seulement deux unités, il doit alors se tenir debout pour finir sa prière normalement, quatre unités (Rik’a).Il doit aussi faire - dans le deux cas - «Les deux prosternations pour oubli» par précaution obligatoire, après avoir fini la prière, puisqu’il est rajouté une Salutation (Taslim) par omission.

- Si le prieur s’aperçoit lors de « la prière de précaution » qu’il a accomplie seulement trois unités, cinq cas se présentent :

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » d’une seul unité débout - comme le cas de doute entre la 2ème et la 3ème unité (Rik’a) : «cas1» - il doit alors la finir en tant qu’une quatrième unité de la prière. Il doit aussi faire « Les deux prosternations pour oubli » par précaution obligatoire, après avoir fini la prière, puisqu’il est rajouté une Salutation (Taslim) par omission.

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » deux unités débout - comme le cas de doute entre la 2ème et la 4ème unité (Rik’a) : «cas 3» - et s’il est toujours dans la 1ère unité, il doit alors la finir en tant qu’une quatrième unité de la prière. Et s’il est dans la 2ème unité débout avant d’entamer l’Inclination (Rukou’), il doit revenir assis et la finir en tant qu’une quatrième unité de la prière. Il doit - dans les deux cas - faire après avoir fini la prière «Les deux prosternations pour oubli» par précaution obligatoire, puisqu’il est rajouté une Salutation (Taslim) par omission.

   • En revanche, s’il s’aperçoit qu’il a accomplie seulement trois unités lors de l’Inclination (Rukou’) de la deuxième unité de «la prière de précaution» ou après, sa prière, dans ce cas, est invalide car il a ajouté une inclination (Rukou’), même par omission.

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » assis et s’il est toujours assis lors de la 1ère unité avant l’inclination, il doit alors abandonner cette prière et se tenir débout pour finir la 4ème unité de sa prière. Il doit aussi faire « Les deux prosternations pour oubli » par précaution obligatoire, après avoir fini la prière, puisqu’il est rajouté une Salutation (Taslim) par omission.

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » assis et s’il s’aperçoit lors de l’inclination ou après, que sa prière était incomplète, trois unités, il doit alors abandonner cette prière et recommencer la prière car sa prière est devenue invalide.

- Si le prieur s’aperçoit lors de « la prière de précaution » qu’il a accomplie seulement deux unités, trois cas se présentent :

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » d’une seule unité débout, et s’il s’aperçoit avant d’entamer la Salutation (Taslim), il considère cette unité comme la 3ème unité (Rik’a) de sa prière et se tenir debout pour accomplir la 4ème unité. Il doit aussi faire «Les deux prosternations pour oubli» par précaution obligatoire, après avoir fini la prière, puisqu’il est rajouté une Salutation (Taslim) par omission.

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » d’une seule unité débout, et s’il s’aperçoit lors ou après d’entamer la Salutation (Taslim), il doit se tenir debout pour accomplir la 4ème unité de sa prière. Il doit aussi faire deux fois «Les deux prosternations pour oubli» par précaution obligatoire, après avoir fini la prière, puisqu’il est rajouté deux Salutation (Taslim) par omission ; la Salutation de la prière et la Salutation de la prière de précaution.

   • S’il est entrain d’accomplir « la prière de précaution » deux unités debout, il doit alors la finir en tant que 3ème et 4ème unités de la prière.

- Si le prieur découvre que « la prière de précaution » qui est faite, ne remplie pas le manque de sa prière, il doit refaire la prière car sa prière est incomplète et invalide. Exemple : Si le prieur doute entre la 2ème et 3ème unité et il accompli « la prière de précaution » une seul unité « 1ère cas », et s’il découvre après avoir fini « la prière de précaution » que sa prière était deux unités seulement, alors elle manquait deux unités, donc «la prière de précaution» qui est faite une unité, ne remplie pas le manque de sa prière qui est deux unités. Il doit alors refaire la prière.

- Si le prieur oubli d’accomplir « la prière de précaution » jusqu’à ce qu’il fait ce qui annule la prière, sa prière est invalide. Il doit alors refaire la prière.

- Si «la prière de précaution» manque un pilier de la prière, comme l’inclination (Rukou’) par exemple, le prieur doit recommencer la prière car sa prière est invalide.

- Si le prieur doute entre les membres d’unités de « la prière de précaution » de deux unités, il doit se considérer qu’il est entrain d’accomplir la deuxième unité et s’il est dans une prière de précaution d’une seule unité, il se considérer dans la première. Et s’il doute entre la 2ème ou 3ème unité de « la prière de précaution » il considère qu’il est dans le deuxième. Et sa prière, dans tous ces cas, est valable.

- Les jugements de « doute concernant les actes », de «cas d’omissions », de « l’ajout et la réduction lors de la prière » qui sont requirent lors de la prière en générale, sont requirent aussi lors de « la prière de précaution ».

- Si le prieur incertain que son doute est un « doute avec probabilité » alors il ne doit pas prendre son doute en considération ou un «doute sans probabilité» qui est soumis aux cas cités ci-avant, Alors il doit le compter comme de « doute sans probabilité » et agir selon les cas cités auparavant.

- Lors de prière en assemblée : Si l’imam de la prière doute de nombres d’unités, il doit compter sur la certitude ou la «doute avec probabilité» de celui qui prie derrière. Et si ce dernier doute de nombres d’unités, il doit compter sur la certitude ou la « doute avec probabilité » de l’imam de la prière.

E - Les doutes et l’omission lors de la prière surérogatoire

- Les jugements qui concernent le « doute entre d’unités » et « les cas d’omissions » pour les prières obligatoires sont les même pour les prières surérogatoires, sauf dans trois cas. En conséquence ;

   • Si le prieur doute, après avoir fini la prière surérogatoire, d’une partie ou d’une condition requise de la prière ; est-il la fait on non? Ou ; est-il l’a fait correctement ou non ? Alors, il ne tient pas compte du doute. Et s’il doute, lors de la prière, d’un acte précédant est-il était fait ou non ? Ou est-il était fait correctement ou non ? Il ne tient pas compte du doute.

   • Si le prieur aperçoit que sa prière surérogatoire manque un élément obligatoire et s’il est toujours à la place de l’élément manqué, il doit alors l’accomplir. Comme s’il oubli la Récitation et s’aperçoit lorsqu’il est encore débout avant l’Inclination, il doit alors réciter car il est toujours à la place de la Récitation.

   • Si le prieur aperçoit que sa prière surérogatoire a manqué « un pilier de la prière » comme l’Inclination (Rukou’) ou les deux prosternations, sa prière est invalide.

Il est évident que la prière surérogatoire dans ces trois cas est comme la prière obligatoire. En revanche ;

   • la prière surérogatoire est toujours valide si le prieur rajoute à sa prière « un pilier de la prière », par omission ou délibérément.

   • Le prieur doit accomplir l’élément manqué de sa prière surérogatoire même s’il l’a dépassé pour un autre élément, alors s’il aperçoit lors de l’inclination qu’il a oublié d’accomplir la Récitation, il doit revenir débout pour la réciter même s’il devrait refaire l’inclination une deuxième fois, puisque cet ajout n’invalide pas la prière surérogatoire.

   • La prière surérogatoire n’exige pas « les deux prosternations pour oubli ». Donc, si le prieur commet ce qui exige « les deux prosternations pour oubli » lors de la prière surérogatoire, il ne doit pas les accomplir.

   • La prière surérogatoire n’exige pas « le rattrapage des éléments oublié » après avoir fini la prière. Exemple : Si le prieur oubli d’accomplir une prosternation d’une unité (Rik’a) de la prière surérogatoire, il ne doit pas la rattraper après la prière.

   • Si le prieur doute entre les unités de la prière surérogatoire, il a le choix de compter sur le nombre supérieur ou inférieur. Donc, s’il doute, il peut se considérer dans la 1ère ou dans la 2ème unité (Rik’a).






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